02 juin 2025
Se lancer en tant que consultant indépendant séduit de plus en plus de professionnels des ressources humaines et du management. Liberté, impact, sens… les motivations sont nombreuses, mais la réalité de l’entrepreneuriat dans le conseil peut aussi faire émerger des doutes. Petit point sur 5 clés indispensables au succès
Malgré l’émergence des IA (ou peut-être à cause) jamais l’Humain n’a autant eu sa place dans l’économie. Les défis restent pour autant très nombreux. Nous ne pouvons que vous le confirmer, se lancer en tant que consultant RH est une aventure passionnante, qui attire de nombreux professionnels en quête d’autonomie et d’impact. Devenir consultant Ressources Humaines ou management est un défi exaltant, mais exigeant. Entre l’expertise métier et la posture entrepreneuriale, la transition n’est pas toujours évidente. Beaucoup se demandent s’ils ont vraiment les compétences nécessaires pour réussir. Être un bon consultant RH ne se résume pas à maîtriser son domaine, il faut aussi savoir vendre son expertise, gérer son activité et créer une véritable relation de confiance avec ses clients.
Alors, quelles sont les qualités indispensables pour faire la différence sur ce marché ?
Bien sûr, un bon consultant RH doit avoir une connaissance approfondie des ressources humaines, du management et des problématiques d’organisation. Mais cela ne suffit pas. La vraie valeur ajoutée d’un consultant réside dans sa capacité à comprendre les enjeux spécifiques de ses clients et à proposer des solutions adaptées. Il ne s’agit pas seulement d’appliquer des modèles théoriques, mais d’accompagner les entreprises dans des transformations concrètes, en tenant compte de leur culture et de leur contexte.
Dans ce cadre, peu de choses remplace l’expérience. Avoir vécu dans sa chair les enjeux quotidiens d’une entreprise, les montagnes russes de l’entreprenariat et la complexité des relations humaines au travail sont autant de ressources exploitables pour comprendre les situations et accompagner au mieux les entreprises.
C’est une des raisons pour laquelle les consultants et franchisés VAKOM sont tous issus du monde de l’entreprise.
Une des clés du succès en tant que consultant RH indépendant ou non, est de savoir écouter et penser contre soi. Le risque existe parfois que les experts veuillent apporter des solutions avant même d’avoir cerné le vrai problème, celui qui n’est pas énoncé. Le plus souvent en ayant les meilleurs intentions du monde, parce que cela ressemble à une situation déjà traitée ou correspond à un domaine d’expertise.
Mais même s’il se nourrit de son expérience passée, un bon consultant pose les bonnes questions, reformule, challenge ses interlocuteurs et coconstruit des solutions avec eux. Il doit être capable de prendre du recul, d’adapter son discours en fonction de son audience et de créer une relation de confiance durable. Une phase de « découverte » est indispensable à chaque RDV, même lorsque l’on connait le client depuis des années.
Le monde du conseil suit celui du travail, il est donc en perpétuelle évolution. Les besoins des entreprises changent, les attentes des clients évoluent et les approches doivent s’adapter. Un consultant performant doit être capable d’élargir ses compétences, de se former en continu et d’adopter une posture d’apprentissage permanent. Il ne suffit pas de s’appuyer sur son expertise initiale, il faut être curieux, ouvert et capable de se remettre en question.
Cela parait évident lors d’une phase de bouleversement importante telle que le COVID mais cette remise en question et ces adaptations doivent être la norme.
Sur ce point, le retour d’expérience de VAKOM en tant que premier franchiseur RH est implacable : beaucoup d’experts RH hésitent à se lancer par peur de ne pas savoir « se vendre ». Pourtant, un consultant indépendant est avant tout un entrepreneur. Il doit savoir communiquer sur son offre, développer son réseau et convaincre ses prospects de la valeur qu’il apporte. Il doit aussi être capable de gérer les aspects administratifs, financiers et juridiques de son activité. Bref, il ne suffit pas d’être un bon consultant, il faut aussi être un bon chef d’entreprise.
Tout d’abord, il est indispensable de se créer ou d’exploiter son réseau professionnel. Celui-ci n’est pas nécessairement à envisager comme une pépinière de clients immédiats mais plutôt comme un formidable groupe d’ambassadeurs de votre activité. Ils sont là où vous ne serez pas et parlerons mieux que vous même de ce que vous proposez, pour peu que vous les ayez préparés à le faire avec un discours rodé et des éléments mémorables.
D’ailleurs, vous connaissez l’histoire du manchot ?
Ce point vient en écho direct au précédent. Se lancer seul peut être intimidant, mais il existe des solutions pour sécuriser son projet et éviter les erreurs classiques. les activités de conseil, formation, bilan de compétences et autres sont fortement réglementées et le temps à consacrer à l’administratif et la structuration de son activité sera toujours beaucoup plus important que tout ce que vous pourrez avoir imaginé…
C’est évidemment plus simple (et non pas facile) lorsque l’on fait partie d’une structure et un point essentiel lorsque l’on se lance comme consultant RH indépendant. Dans ce cas, un fonctionnement hybride comme celui de la franchise RH peut être un gain de temps important.
Chez VAKOM, nous accompagnons les consultants indépendants dans la structuration et le développement de leur activité. Nous leur apportons des outils, des méthodes et un réseau pour les aider à réussir durablement.
Et vous, quelles compétences vous semblent les plus importantes pour réussir dans le conseil ?
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